Cela fait un peu plus d'un an que j'ai beaucoup de mal à vous proposer de nouvelles recettes pour cause de manque de temps mais surtout parce que j'ai un doute énorme sur la qualité des produits que nous achetons. Je ne suis pas pour le Bio à tout prix. En effet, comment peut-on cultiver en grosse quantité des produits non traités ? Essayez dans un jardin et vous verrez. Je préfère l'intitulé : "peu de traitements ou traité par procédé naturel". Et puis, pourquoi payer très cher un produit qui, soit disant, pousse tout seul ? On devrait en toute logique payer plus cher les produits traités puisqu'il y a de la matière en plus. Bref, on nous empoisonne physiquement et psychologiquement.
En ce moment, les médias nous "bassine" avec la viande de cheval vendue pour du bœuf.... ouais, d'accord, il y a maldonne sur l'information indiquée sur l'emballage. Mais, ça, c'est la partie émergée du problème.... car le plus gros soucis n'est pas que l'on mange du cheval, de l'âne ou du poney, mais, que l'on ingurgite de la viande bourrée de médicaments et autres traitements liés à leur nourriture tout au long de notre vie - "La dose fait le poison". Après ça, on s'étonne d'avoir des maladies graves ou de ne plus pouvoir procréer. Et je ne parle pas du poisson d'élevage qui, à mon avis, est un scandale encore plus grand !
En ce moment, les médias nous "bassine" avec la viande de cheval vendue pour du bœuf.... ouais, d'accord, il y a maldonne sur l'information indiquée sur l'emballage. Mais, ça, c'est la partie émergée du problème.... car le plus gros soucis n'est pas que l'on mange du cheval, de l'âne ou du poney, mais, que l'on ingurgite de la viande bourrée de médicaments et autres traitements liés à leur nourriture tout au long de notre vie - "La dose fait le poison". Après ça, on s'étonne d'avoir des maladies graves ou de ne plus pouvoir procréer. Et je ne parle pas du poisson d'élevage qui, à mon avis, est un scandale encore plus grand !
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Le journal "le Monde" du 26 février 2013
a édité un dossier complet qu'il faut impérativement lire dans sa totalité.
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Je cite quelques paragraphes :
"Nul ne sait ce que contient réellement la viande industrielle. Et nul ne veut savoir. Dans la lutte contre l'orgie d'antibiotiques donnés au bétail, le ministère de l'agriculture apparait comme un Janus biface"...
..."on remarquera, dans le scandale en cours, un mot a presque disparu : phénylbutazone. Cet anti-inflammatoire, on le sait, a été retrouvé dans les carcasses de chevaux exportés vers la France. Or la phénylbutazone est un produit dangereux, interdit dans toute viande destinée à la consommation humaine. S'agit-il d'une fraude isolée ? ou bien, comme certains éléments permettent de l'envisager, d'une pratique tolérée par les autorités de contrôle ? Nul besoin d'une vaste enquête pour avoir une idée de l'incroyable pharmacopée destinée aux animaux d'élevage. La liste des produits autorisés contient de nombreux douvicide (contre les vers parasites), d'anticoccidiens (paradites de l'intestin), anthelminthiques (vermifuges), hormones, vaccins, neuroleptiques et antibiotiques. Sait-on comment l'oxytétracycline se mélange avec gonandolibérine chez un poulet ? Comment le flubendazole se marie avec l'azapérone et les prostaglandines PGF2 dans la chair d'un porc ? Le thiabendazole avec le diazinon ou le décoquinate dans le sang d'une bonne vache charolaise ? Aucune étude sur les effets de synergie de ces produits n'est menée. Il n'est pas dit qu'elles seraient possibles. Lorsque c'est le cas, on découvre en tout cas un nouveau monde. le 3 août 2012, la revue Plos One, publiait un travail sur les effets combinés de trois fongicides très employés dans l'agriculture. Leur association provoque des effets inattendus sur les cellules de notre système nerveux central. Commentaire de l'un des auteurs, Claude Reiss : 'des substances réputées sans effet pour la reproduction humaine, non neurotoxiques et non cancérigènes ont, en combinaison, des effets insoupçonnés'. Effets insoupçonnés, éventuellement cancérigènes, ouvrant la voie - peut être - à des maladies neurodégénératives comme Parkinson, la sclérose en plaques ou Alzheimer."......
..."on remarquera, dans le scandale en cours, un mot a presque disparu : phénylbutazone. Cet anti-inflammatoire, on le sait, a été retrouvé dans les carcasses de chevaux exportés vers la France. Or la phénylbutazone est un produit dangereux, interdit dans toute viande destinée à la consommation humaine. S'agit-il d'une fraude isolée ? ou bien, comme certains éléments permettent de l'envisager, d'une pratique tolérée par les autorités de contrôle ? Nul besoin d'une vaste enquête pour avoir une idée de l'incroyable pharmacopée destinée aux animaux d'élevage. La liste des produits autorisés contient de nombreux douvicide (contre les vers parasites), d'anticoccidiens (paradites de l'intestin), anthelminthiques (vermifuges), hormones, vaccins, neuroleptiques et antibiotiques. Sait-on comment l'oxytétracycline se mélange avec gonandolibérine chez un poulet ? Comment le flubendazole se marie avec l'azapérone et les prostaglandines PGF2 dans la chair d'un porc ? Le thiabendazole avec le diazinon ou le décoquinate dans le sang d'une bonne vache charolaise ? Aucune étude sur les effets de synergie de ces produits n'est menée. Il n'est pas dit qu'elles seraient possibles. Lorsque c'est le cas, on découvre en tout cas un nouveau monde. le 3 août 2012, la revue Plos One, publiait un travail sur les effets combinés de trois fongicides très employés dans l'agriculture. Leur association provoque des effets inattendus sur les cellules de notre système nerveux central. Commentaire de l'un des auteurs, Claude Reiss : 'des substances réputées sans effet pour la reproduction humaine, non neurotoxiques et non cancérigènes ont, en combinaison, des effets insoupçonnés'. Effets insoupçonnés, éventuellement cancérigènes, ouvrant la voie - peut être - à des maladies neurodégénératives comme Parkinson, la sclérose en plaques ou Alzheimer."......
Et puis l'article du journal Le Monde dit :..."En 2012, une équipe de chercheurs a mis au point une technique de détection des résidus dans l'alimentation, en s'appuyant sur la chromatographie et la spectrométrie de masse. Analysant les petits pots pour bébés contenant de la viande, ils y ont découvert des antibiotiques destinés aux animaux, comme la tilmicosine ou la spiramycine, mais aussi des antiparasitaires, comme le levamisole, ou encore des fongicides. Certes à des doses très faibles - en général - mais, comme on le verra, la question se pose aujourd'hui dans des termes neufs...
...."toutes les choses sont poison, et rien n'est sans poison ; seule la dose fait qu'une chose n'est pas un poison" Phrase clé que des générations de toxicologues ont résumée dans cette formule : "la dose fait le poison"... mais la connaissance bouscule les idées en apparence les plus solides. Le lourd dossier des perturbateurs endocriniens vient rebattre les cartes de manière spectaculaire. En deux mots, les substances chimiques imitent les hormones naturelles et désorientent des fonctions essentielles du corps humain, comme la reproduction ou la différenciation sexuelle. Or les perturbateurs agissent à des doses si faibles que l'Agence nationale de sécurité sanitaire a pu conclure, dans un rapport de 2011, que les effets de l'un d'eux, le bisphénol A, étaient avérés à "des doses notablement inférieures aux doses de référence utilisées à des fins réglementaires". Il est certain que ce seul propos marque un tournant. Car du même coup, la dose journalière admissible du bisphénol A pourrait être divisé par 2 millions selon le toxicologue André Cicolella. Le bisphénol A pourrait même "avoir des effets plus importants à très faible niveau d'exposition qu'à haut niveau" ce qui mettrait à bas tout l'édifice. Quel rapport avec cette fraude géante appelée désormais : "horsegate" ? C'est on ne peut plus limpide : nul ne sait ce que contient réellement la viande industrielle....
...."toutes les choses sont poison, et rien n'est sans poison ; seule la dose fait qu'une chose n'est pas un poison" Phrase clé que des générations de toxicologues ont résumée dans cette formule : "la dose fait le poison"... mais la connaissance bouscule les idées en apparence les plus solides. Le lourd dossier des perturbateurs endocriniens vient rebattre les cartes de manière spectaculaire. En deux mots, les substances chimiques imitent les hormones naturelles et désorientent des fonctions essentielles du corps humain, comme la reproduction ou la différenciation sexuelle. Or les perturbateurs agissent à des doses si faibles que l'Agence nationale de sécurité sanitaire a pu conclure, dans un rapport de 2011, que les effets de l'un d'eux, le bisphénol A, étaient avérés à "des doses notablement inférieures aux doses de référence utilisées à des fins réglementaires". Il est certain que ce seul propos marque un tournant. Car du même coup, la dose journalière admissible du bisphénol A pourrait être divisé par 2 millions selon le toxicologue André Cicolella. Le bisphénol A pourrait même "avoir des effets plus importants à très faible niveau d'exposition qu'à haut niveau" ce qui mettrait à bas tout l'édifice. Quel rapport avec cette fraude géante appelée désormais : "horsegate" ? C'est on ne peut plus limpide : nul ne sait ce que contient réellement la viande industrielle....
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En conclusion : Il va falloir changer notre mode d'alimentation ! C'est impératif ! Essayez dans la mesure du possible de manger uniquement des produits frais de la région où vous vous trouvez et cuisinés par vous. Essayez de varier votre alimentation. Limitez la consommation de viande à une fois par jour au grand maximum. Évitez les poissons d'élevages surtout saumon et truite. Et puis, n'écoutez pas les journalistes vedettes du petit écran ou des grandes stations de radio nationales qui vous sortent des sujets - dont ils ne connaissent rien - juste pour vous faire peur sur le moment et dans six mois, ils raconteront l'inverse parce qu'un groupe agro-alimentaire viendra faire de la pub a une bonne heure d'écoute... écoutez les professionnels dans les bons journaux de la presse écrite ou les dossiers ne sont pas qu'un coup médiatique mais sont travaillés et analysés. Et puis, si vous avez de la chance d'avoir un chien "fin gourmet" comme moi, essayez de lui donner de la viande achetée en barquette en supermarché.... le chien n'en voudra pas forcément ! Mon vieux bichon, préfère ne pas manger, plutôt que d'avaler certaines viandes vendues pour "humains" emballées dans du plastique. C'est drôle non ? Achetez des produits de saisons et de votre région en priorité ! Si vous achetez des fraises en ce moment dans certains supermarchés, posez-vous les bonnes questions : qu'a besoin une fraise pour grandir et mûrir ? du soleil et une certaine chaleur ! Même si ces fraises viennent d'Espagne, y-a-t-il du soleil en Espagne en plein mois de février ??????
Voilà pourquoi, je ne publie plus beaucoup de recettes. Je n'ai plus le goût et l'envie d'acheter la "m....e" que l'on nous vend.... ça reviendra, je le sais, mais quand ?
Produits à éviter : Viandes de porc, bœufs, veau, mouton, agneau, lapins, Volailles, Poissons,.... etc... d'élevages intensifs ou d'importations. Yaourts et laitages, fromages soit disant pour enfants ou pré-emballés dans du polystyrène et du plastique, tous les produits assemblés en France. Faites attention au pain et aux viennoiseries ! Certaines "boulangeries industrielles" ou terminal de cuisson n'hésitent pas à utiliser des produits que je nommerais poliment "bas de gamme"... si vous habitez en Région Parisienne et que vous avez l'habitude d'acheter du pain en Supermarché, achetez le pain Poilâne, je connais leur savoir faire et j'ai eu l'occasion de voir les produits qu'ils mettent dans leurs différents pains.
Lisez les étiquettes, posez des questions. Dans le doute, n'achetez pas. Il vaut mieux manger sain et en quantité moindre plutôt que des produits infectés, très chers et qui risquent de vous empoisonner à plus ou moins court terme.
Voilà, c'était mon "coup de gueule", à vous de réfléchir sur le sujet et de faire ce que bon vous semble... je vous ai alerté sur une infime partie d'un scandale alimentaire qui s'annonce.
Lisez les étiquettes, posez des questions. Dans le doute, n'achetez pas. Il vaut mieux manger sain et en quantité moindre plutôt que des produits infectés, très chers et qui risquent de vous empoisonner à plus ou moins court terme.
Voilà, c'était mon "coup de gueule", à vous de réfléchir sur le sujet et de faire ce que bon vous semble... je vous ai alerté sur une infime partie d'un scandale alimentaire qui s'annonce.