vous propose ses recettes.

Pour votre santé, pratiquez une activité physique régulière. Variez votre alimentation. Cuisinez et mangez des produits de saisons. Quand à l'alcool, un verre de bon vin avec un repas équilibré n'a jamais fait de mal ! Par contre, le mélange et l'abus d'alcool est très dangereux pour la santé.

13 décembre 2013

Joyeux Noël





À l'occasion du temps des fêtes, 
rien n'est plus agréable 
que de festoyer avec ceux qu'on aime.

Je vous souhaite
Que les Fêtes soient 
riches de joie et de gaieté, 
que la nouvelle année déborde de bonheur et de prospérité,
que tous les vœux formulés 
en 2013 deviennent réalité en 2014.


08 septembre 2013

Clafoutis aux mirabelles

Voici une recette très simple de clafoutis. 








Ingrédients :
- 700 g de mirabelles
- 4 gros œufs de ferme ou bio
- 1 petite pincée de fleur de sel
- 80 g de sucre en poudre
- 1 sachet de sucre vanillé
- 80 g de farine tamisée
- 60 g de beurre
- 25 cl de lait

Préparation :

- Lavez, essuyez, coupez en deux et dénoyautez les mirabelles. 

- Faites fondre le beurre. Laissez-le refroidir.

- Dans un saladier, battez en omelette les œufs avec la fleur de sel, le sucre en poudre et le sucre vanillé. Ajoutez petit à petit la farine tamisée tout en mélangeant avec un fouet. Vous devez obtenir une sorte de pâte à crêpe sans grumeaux.

- Faites tiédir le lait. 

- Incorporez à la pâte le beurre fondu et lait. Mélangez au fouet. 

- Beurrez un moule à manqué. Disposez-y les demi mirabelles - partie bombée en dessous. N'hésitez pas à les faire se chevaucher afin qu'il y ait le moins d'espace possible entre elles.

- Versez la pâte en l'étalant sur toutes les mirabelles.

- Enfournez th 7 (210° C) pendant 30 minutes. Vérifiez la cuisson avec une lame de couteau. 

- Servez tiède ou froid.

18 août 2013

Flan de courgettes à la menthe

Ingrédients : 
- 4 petites courgettes 
- 4 oignons blancs
- 6 œufs
- 1 bouquet de menthe
- 3 c.s. d'huile d'olive
- sel - poivre

 

Préparation :

- lavez les courgettes. Pelez-les une bande sur deux puis, coupez-les en 2 dans la longueur. Si besoin enlevez les graines puis émincez-les en fines lamelles. 

- Épluchez les oignons, lavez-les et émincez-les.

- Dans une grande poêle, faites revenir les oignons et les courgettes dans 3 c.s. d'huile d'olive pendant 5 à 6 minutes en remuant souvent afin que les ingrédients ne brulent pas.

- Salez, poivrez.

- Dans un petit saladier, battez les œufs à la fourchette. Lavez la menthe, ciselez-la avec des ciseaux, mélangez-la aux œufs battus.

- Versez doucement les œufs à la menthe dans la poêle sur les courgettes aux oignons. Remuez avec des spatules en bois. Coupez le feu.

- Versez le contenu de la poêle dans une moule à cake en silicone ou beurré. 

- Enfournez pour 30 à 35 minutes selon votre four à 200° C (th 6 - 7) - vérifiez avec une pointe de couteau : si celle-ci ressort sèche, votre flan est cuit. Sinon poursuivez un peu. 

- Servez ce flan froid avec une salade de tomates ou un coulis de tomates épicé. 

N.B. : si dans votre jardin, vous avez des grosses courgettes, a ce moment là, vous en prenez une seule, vous la coupez en 4 puis en petits dés.
- sur une de mes photos vous voyez un oignon abimé, c'est juste un soucis d'épluchures... ils sortaient de terre et je n'ai pas vu que ce côté là était "moche".... mais, l'oignon, lui était très bon ! c'est ça aussi le "bio"  du jardin pas de traitement, consommation immédiate ! 

29 juin 2013

Côtes de porc au citron

Comme le soleil ne veut pas s'installer chez nous, je suis partie à sa rencontre... en Italie dans la région de Naples ou le citron et d'autres agrumes sont cultivés. J'ai préparé cette recette avec des citrons que j'ai rapporté de l'ile de Procida mais vous pouvez la faire avec des citrons non traités.

Temps de préparation et de cuisson : une trentaine de minutes - 


Ingrédients pour 4 personnes :
 - 4 côtes de porcs 
- 1 oignon
- 2 gousses d'ail
- 2 citrons non traités 
- 2 c.s. d'huile d'olive
- 40 g de beurre demi-sel
- poivre
- 1 c.c. de 4-épices
- 1 c.c. de vinaigre balsamique


Préparation
- Pelez puis hachez l'oignon et l'ail. Lavez les citrons. Pressez-en un pour le jus et coupez l'autre en fines rondelles. Réservez.

- Dans une grande poële, faites chauffer l'huile et la moitié du beurre. Mettez-y à dorer les côtes de porc (que vous aurez poivrez auparavant) à feu vif et pendant 3 minutes de chaque côté. Réservez-les dans un plat ou une assiette.

- Dans la même poêle non nettoyée, faites chauffer le reste de beurre, versez-y le hachis d'ail et d'oignon et laissez fondre tout en remuant avec une cuillère en bois pendant 1 minute. Ajoutez la c.c. de 4-épices, la c.c. de vinaigre balsamique et le jus de citron. Mélangez. Baissez le feu. Remettez les côtes dans la poêle et disposez les tranches de citron par-dessus. Couvrez et laissez cuire 6 à 8 minutes. 
 
- Dressez les côtes sur le plat de service avec les rondelles de citron. Rectifiez l'assaisonnement de la sauce, versez celle-ci sur la viande. Vous pouvez décorer avec du persil.

25 mai 2013

bientôt le retour....

eh, oui, je suis comme vous..... j'attends le soleil ! 

Pas d'erreur sur le calendrier, nous sommes bien fin mai et avons un temps de mi-mars. 

N'hésitez pas à cuisiner comme en hiver. Laissez pour le moment les tomates, courgettes et autres légumes d'été dans les rayons. Ceux que vous trouvez en ce moment, sont, soit cultivés sous serre avec du chauffage, soit, hors de nos frontières. Il fait froid, mangez des fruits et légumes de votre région ! Cuisinez des Patates, des lentilles, des pâtes, du riz, etc... ! Vous aurez tout l'été pour faire des plats dits "du sud"...


Lorsque le soleil sera là, promis, je me remets aux fourneaux... 

A bientôt 


16 mai 2013

Info : L'Australie veut interdire la fertilisation des mers

Jeudi 16 mai 2013 à 12h34




L’Australie veut faire inscrire dans le protocole de Londres sur la prévention de la pollution des mers l'interdiction absolue de fertiliser les océans sans justification scientifique, a annoncé jeudi le gouvernement australien.

Cette méthode controversée destinée à lutter contre l'acidification des mers et des océans consiste à déverser du sulfate de fer qui va agir comme un engrais pour le phytoplancton.

Ces microalgues marines jouent un rôle clé dans le niveau mondial de carbone car elles absorbent le dioxyde de carbone (CO2) situé dans l'eau et l'atmosphère. Après une courte vie, les restes de ces organismes viennent se déposer sur le plancher océanique sous forme de sédiment.

Mais l'efficacité et les incidences éventuelles de la fertilisation sur l'environnement sont méconnues. Le protocole de Londres qui a amendé puis remplacé en 1996 la Convention de Londres de 1972 recommande aux 42 Etats signataires de ne pas y recourir.
Mais le texte n'est pas assez contraignant, selon Canberra.

L'Australie, le Nigeria et la Corée du Sud entendent déposer lors d'une réunion des pays signataires du protocole en octobre dans la capitale britannique un amendement coercitif qui proscrirait toute fertilisation commerciale.

"L'amendement ambitionne de mettre en place une règlementation contraignante sur la fertilisation des océans", a expliqué le ministre australien de l'Environment Tony Burke.

"Il interdit les activités commerciales de fertilisation des mers tout en autorisant la recherche scientifique légitime destinée à identifier les bénéfices éventuels" de cette pratique, a-t-il ajouté.

En 2012, les parties signataires du protocole avaient simplement déploré le recours à la fertilisation sur le littoral Pacifique du Canada par une société désirant reconstituer des populations de saumons, lesquels se nourrissent de phytoplancton.

27 février 2013

Le scandale alimentaire qui s'annonce

Cela fait un peu plus d'un an que j'ai beaucoup de mal à vous proposer de nouvelles recettes pour cause de manque de temps mais surtout parce que j'ai un doute énorme sur la qualité des produits que nous achetons. Je ne suis pas pour le Bio à tout prix. En effet, comment peut-on cultiver en grosse quantité des produits non traités ? Essayez dans un jardin et vous verrez. Je préfère l'intitulé : "peu de traitements ou traité par procédé naturel". Et puis, pourquoi payer très cher un produit qui, soit disant,  pousse tout seul ? On devrait en toute logique payer plus cher les produits traités puisqu'il y a de la matière en plus. Bref, on nous empoisonne physiquement et psychologiquement.

En ce moment, les médias nous "bassine" avec la viande de cheval vendue pour du bœuf.... ouais, d'accord, il y a maldonne sur l'information indiquée sur l'emballage. Mais, ça, c'est la partie émergée du problème.... car le plus gros soucis n'est pas que l'on mange du cheval, de l'âne ou du poney, mais, que l'on ingurgite de la viande bourrée de médicaments et autres traitements liés à leur nourriture tout au long de notre vie - "La dose fait le poison". Après ça, on s'étonne d'avoir des maladies graves ou de ne plus pouvoir procréer. Et je ne parle pas du poisson d'élevage qui, à mon avis, est un scandale encore plus grand !
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Le journal "le Monde" du 26 février 2013 
a édité un dossier complet qu'il faut impérativement lire dans sa totalité.
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Je cite quelques paragraphes : 
"Nul ne sait ce que contient réellement la viande industrielle. Et nul ne veut savoir. Dans la lutte contre l'orgie d'antibiotiques donnés au bétail, le ministère de l'agriculture apparait comme un Janus biface"... 

..."on remarquera, dans le scandale en cours, un mot a presque disparu : phénylbutazone. Cet anti-inflammatoire, on le sait, a été retrouvé dans les carcasses de chevaux exportés vers la France. Or la phénylbutazone est un produit dangereux, interdit dans toute viande destinée à la consommation humaine. S'agit-il d'une fraude isolée ? ou bien, comme certains éléments permettent de l'envisager, d'une pratique tolérée par les autorités de contrôle ? Nul besoin d'une vaste enquête pour avoir une idée de l'incroyable pharmacopée destinée aux animaux d'élevage. La liste des produits autorisés contient de nombreux douvicide (contre les vers parasites), d'anticoccidiens (paradites de l'intestin), anthelminthiques (vermifuges), hormones, vaccins, neuroleptiques et antibiotiques. Sait-on comment l'oxytétracycline se mélange avec gonandolibérine chez un poulet ? Comment le flubendazole se marie avec l'azapérone et les prostaglandines PGF2 dans la chair d'un porc ? Le thiabendazole avec le diazinon ou le décoquinate dans le sang d'une bonne vache charolaise ? Aucune étude sur les effets de synergie de ces produits n'est menée. Il n'est pas dit qu'elles seraient possibles. Lorsque c'est le cas, on découvre en tout cas un nouveau monde. le 3 août 2012, la revue Plos One, publiait un travail sur les effets combinés de trois fongicides très employés dans l'agriculture. Leur association provoque des effets inattendus sur les cellules de notre système nerveux central. Commentaire de l'un des auteurs, Claude Reiss : 'des substances réputées sans effet pour la reproduction humaine, non neurotoxiques et non cancérigènes ont, en combinaison, des effets insoupçonnés'. Effets insoupçonnés, éventuellement cancérigènes, ouvrant la voie - peut être - à des maladies neurodégénératives comme Parkinson, la sclérose en plaques ou Alzheimer."......

Et puis l'article du journal Le Monde dit :..."En 2012, une équipe de chercheurs a mis au point une technique de détection des résidus dans l'alimentation, en s'appuyant sur la chromatographie et la spectrométrie de masse. Analysant les petits pots pour bébés contenant de la viande, ils y ont découvert des antibiotiques destinés aux animaux, comme la tilmicosine ou la spiramycine, mais aussi des antiparasitaires, comme le levamisole, ou encore des fongicides. Certes à des doses très faibles - en général - mais, comme on le verra, la question se pose aujourd'hui dans des termes neufs...

...."toutes les choses sont poison, et rien n'est sans poison ; seule la dose fait qu'une chose n'est pas un poison" Phrase clé que des générations de toxicologues ont résumée dans cette formule : "la dose fait le poison"... mais la connaissance bouscule les idées en apparence les plus solides. Le lourd dossier des perturbateurs endocriniens vient rebattre les cartes de manière spectaculaire. En deux mots, les substances chimiques imitent les hormones naturelles et désorientent des fonctions essentielles du corps humain, comme la reproduction ou la différenciation sexuelle. Or les perturbateurs agissent à des doses si faibles que l'Agence nationale de sécurité sanitaire a pu conclure, dans un rapport de 2011, que les effets de l'un d'eux, le bisphénol A, étaient avérés à "des doses notablement inférieures aux doses de référence utilisées à des fins réglementaires". Il est certain que ce seul propos marque un tournant. Car du même coup, la dose journalière admissible du bisphénol A pourrait être divisé par 2 millions selon le toxicologue André Cicolella. Le bisphénol A pourrait même "avoir des effets plus importants à très faible niveau d'exposition qu'à haut niveau" ce qui mettrait à bas tout l'édifice. Quel rapport avec cette fraude géante appelée désormais : "horsegate" ? C'est on ne peut plus limpide : nul ne sait ce que contient réellement la viande industrielle.... 
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En conclusion : Il va falloir changer notre mode d'alimentation ! C'est impératif ! Essayez dans la mesure du possible de manger uniquement des produits frais de la région où vous vous trouvez et cuisinés par vous. Essayez de varier votre alimentation. Limitez la consommation de viande à une fois par jour au grand maximum. Évitez les poissons d'élevages surtout saumon et truite. Et puis, n'écoutez pas les journalistes vedettes du petit écran ou des grandes stations de radio nationales qui vous sortent des sujets - dont ils ne connaissent rien -  juste pour vous faire peur sur le moment et dans six mois, ils raconteront l'inverse parce qu'un groupe agro-alimentaire viendra faire de la pub a une bonne heure d'écoute... écoutez les professionnels dans les bons journaux de la presse écrite ou les dossiers ne sont pas qu'un coup médiatique mais sont travaillés et analysés. Et puis, si vous avez de la chance d'avoir un chien "fin gourmet" comme moi, essayez de lui donner de la viande achetée en barquette en supermarché.... le chien n'en voudra pas forcément ! Mon vieux bichon, préfère ne pas manger, plutôt que d'avaler certaines viandes vendues pour "humains" emballées dans du plastique. C'est drôle non ?  Achetez des produits de saisons et de votre région en priorité ! Si vous achetez des fraises en ce moment dans certains supermarchés, posez-vous les bonnes questions : qu'a besoin une fraise pour grandir et mûrir ? du soleil et une certaine chaleur ! Même si ces fraises viennent d'Espagne, y-a-t-il du soleil en Espagne en plein mois de février ??????

Voilà pourquoi, je ne publie plus beaucoup de recettes. Je n'ai plus le goût et l'envie d'acheter la "m....e" que l'on nous vend.... ça reviendra, je le sais, mais quand ? 

Produits à éviter : Viandes de porc, bœufs, veau, mouton, agneau, lapins, Volailles, Poissons,.... etc... d'élevages intensifs ou d'importations. Yaourts et laitages, fromages soit disant pour enfants ou pré-emballés dans du polystyrène et du plastique, tous les produits assemblés en France. Faites attention au pain et aux viennoiseries ! Certaines "boulangeries industrielles" ou terminal de cuisson n'hésitent pas à utiliser des produits que je nommerais poliment "bas de gamme"... si vous habitez en Région Parisienne et que vous avez l'habitude d'acheter du pain en Supermarché, achetez le pain Poilâne, je connais leur savoir faire et j'ai eu l'occasion de voir les produits qu'ils mettent dans leurs différents pains. 
Lisez les étiquettes, posez des questions. Dans le doute, n'achetez pas. Il vaut mieux manger sain et en quantité moindre plutôt que des produits infectés, très chers et qui risquent de vous empoisonner à plus ou moins court terme.

Voilà, c'était mon "coup de gueule", à vous de réfléchir sur le sujet et de faire ce que bon vous semble... je vous ai alerté sur une infime partie d'un scandale alimentaire qui s'annonce.
 

17 janvier 2013

Feuilletés apéritifs au goût du sud

Voici une recette très facile à faire. 
Votre apéritif aura le goût de la garrigue... sans les cigales.

Ingrédients : 
- 2 rouleaux de pâtes feuilletées
- 1 petit pot de tapenade noire ou faite maison
- 1 petit pot de pesto ou fait maison
- 1 oeuf pour la dorure

Préparation : 
- Mettez à plat une pâte feuilletée déroulée. Etalez dessus une fine épaisseur de tapenade.

- Enroulez assez serré la pâte de manière à faire un rouleau.  Enveloppez-le d'un film plastique alimentaire et congelez le pendant 15 à 20 minutes.

- Procédez de même avec l'autre pâte feuilletée en étalant dessus le pesto.

- Après le temps de congélation, enlevez le film plastique et badigeonnez les rouleau d'oeuf battu.

- Coupez les rouleaux en fin tronçons (3 mm d'épaisseur).

- Posez un papier sulfurisé sur une plaque allant au four et posez dessus les tronçons badigeonnés d'oeuf.

- Enfournez à 210 ° (th. 7) pendant 8 à 10 minutes selon votre four.

- Laissez légèrement tiédir avant de servir lors d'un apéritif.


N.B : vous pouvez congeler et réchauffer ces feuilletés.